Mardi, 1 juillet 2003Entretien avec Sylvie Jamot, thérapeute énergétique
Qu'est-ce qu'être thérapeute en ayant suivi une formation de thérapie intégrative ?
La thérapie intégrative est une approche de plusieurs méthodes de psychologie et de thérapie notamment : - psychologie humaniste - gestalt thérapie - psychanalyse jungienne etc. C'est une méthode d'accompagnement qui prend en compte l'être humain dans sa globalité (corporelle, émotionnelle, mentale, sociale et spirituelle). Qu'est-ce qu'être thérapeute en ayant suivi une formation de thérapie intégrative ?
La thérapie intégrative est une approche de plusieurs méthodes de psychologie et de thérapie notamment : - psychologie humaniste - gestalt thérapie - psychanalyse jungienne etc. C'est une méthode d'accompagnement qui prend en compte l'être humain dans sa globalité (corporelle, émotionnelle, mentale, sociale et spirituelle). Cette thérapie a pour objet d'éclairer l'expérience de la personne dans le monde qui l'entoure en développant sa conscience. Elle l'aide aussi à développer ses mécanismes de sabotage et à les quitter afin de concrétiser et réussir ses buts et projets. La personne reprend confiance en elle et peut ainsi s'affirmer plus facilement. C'est une thérapie qui peut être utilisée pour un problème précis, cela peut être aussi une thérapie de transformation. Je pratique également des harmonisations énergétiques. C'est une méthode qui permet à la fois de travailler sur le corps physique, émotionnel et mental. Je travaille sur les 7 chakras (chakra = organe) en leur redonnant leur qualité et leur couleur respective. La personne est recentrée sur elle-même, il se peut que des prises de conscience ou bien que des images sur le passé surgissent ou bien encore qu'elle soit mise en contact avec la lumière. Par cette méthode j'ai vu des corps physiques se guérir. A chaque séance, la personne ouvre un peu plus son cœur. Par exemple : une femme était complètement repliée sur elle-même, elle portait une grosse culpabilité en elle et avait un gros problème d'œsophage. Elle restait couchée avec plus du tout de vie, elle voulait mourir. Après plusieurs séances (une dizaine environ) et après avoir travaillé sur la culpabilité et après avoir pu y mettre des mots, l'histoire s'est révélée à nous et là j'ai pu constater qu'il n'y avait plus de problème d'œsophage. Elle était guérie. Bien d'autres cas encore se sont produits par la suite (problème cardiaque, un genou d'une petite fille, maux de tête chroniques, sclérose en plaques : la personne a senti revivre ses jambes et ses pieds !) La maladie serait alors un disfonctionnement au niveau de l'âme ? Oui, moi je suis convaincue de cela. Cela se prouve tous les jours. Est-ce que l'on peut tout soigner ? Je pense que l'on peut tout guérir avec l'énergie car l'énergie est une énergie d'Amour qui ne se limite pas, avec elle tout est possible. Si la personne ne guérit pas, à elle de se poser les bonnes questions. Je pense aussi qu'il ne faut pas exclure complètement la médecine parce qu'il y des cas où la médecine est utile mais de part mes séances j'ai vu que des opérations ont été évitées. J'ai l'exemple notamment d'une personne qui s'est guérie d'un cancer du foie. La personne a fait des analyses et il n'y avait plus de cancer. Est-ce que dans ton travail, on te demande de ne soigner que le corps ? Cela ne se passe pas tout à fait de cette façon. Au départ la personne va venir parce qu'elle ressent un mal-être qu'elle ne peut identifier ou parce qu'elle a un problème au corps physique. Elle n'a pas conscience qu'elle guérit l'âme et le corps en même temps. Elle, ce qu'elle veut, c'est guérir. C'est ensuite lorsqu'elle rentre plus profondément dans le travail qu'elle comprend. C'est là que je lui explique que je travaille avec l'énergie, l'énergie d'Amour qui guérit. C'est là où j'explique que l'âme et le corps ne font qu'un. Tu as d'autres techniques ou approches pour soigner ? La thérapie intégrative se fait aussi par les mots. J'ai la personne pendant trois quarts d'heure, un petit contact d'abord d'un quart d'heure, un petit échange à la fin après les trois quarts d'heure : on fait un peu le bilan ensemble. Il y a aussi des séances d'harmonisation. On va ré harmoniser le corps, on va travailler sur les chakras, les 7 chakras. On va travailler sur leur couleur et leurs qualités. Quel est le rôle du patient dans sa guérison ? Le rôle du thérapeute, il faut le rappeler, c'est de guider, d'accompagner et de soutenir. Son rôle n'est pas de faire le travail à la place du patient. Il est bien évident que le patient a son rôle à jouer, à être conscient, à prendre en compte le travail qu'il fait avec le thérapeute, se poser des questions. C'est un échange qui se fait entre le patient et le thérapeute et ensemble on arrive à faire du bon travail. Est-ce que chaque personne dans sa vie devrait faire entamer ce travail sur soi ? Tout à fait. Pour moi c'est un travail qui est vital donc chaque personne devrait voir cette démarche. Même une personne qui ne se sent pas avoir des problèmes dans sa vie ? Je pense. Si elle ne se sent pas avoir des problèmes dans sa vie, c'est peut être qu'elle n'est pas suffisamment consciente mais il faut aussi savoir qu'il faut que la personne soit prête pour entamer ce travail. Si elle n'est pas consciente c'est peut être parce qu'elle a ça à vivre et qu'elle est bien comme elle est. Il faut vraiment que la personne soit prête. C'est une démarche personnelle. L'âge importe peu ? Le thérapeute ne va pas soigner de la même façon un bébé et un adulte, il faut savoir que la thérapie intégrative par les mots déjà est difficile avec le bébé ; la thérapie par le corps est difficile aussi parce que les organes ne sont pas encore formés. Quand un bébé vient, comme c'est une âme avant tout, il suffit simplement de lui envoyer de la Lumière, de l'Amour. Il faut aussi savoir que le bébé est relié à la mère. J'ai eu le cas d'un bébé qui avait de l'eczéma. C'est un bébé qu'il a fallut soigner ainsi que la maman et là " curieusement " le bébé n'avait plus d'eczéma. Est-ce que dans ce genre de thérapie on y met Dieu, parce que tu parles d'énergie, de Lumière. Est-ce qu'il y a un lien dans ta pratique ? Il y a forcément un lien. Le thérapeute sait qu'il y en a un, c'est évident. Pour le patient, au départ, pas forcément. Le patient est venu pour se guérir, il est en recherche, il ne fait pas toujours la relation. Donc plus le travail avance, plus le patient s'ouvre à l'Amour et là c'est au thérapeute de décider de choisir le bon moment où il peut commencer à parler de la Lumière et de Dieu. Il n'est pas obligé d'employer le mot Dieu, il peut dire la Lumière, l'énergie. Certains pensent que ça leur ferait du bien d'aller en thérapie pour régler certains problèmes mais ont peur d'y aller parce qu'ils ont peur de souffrir encore plus. Qu'est-ce que tu dirais alors à ces personnes qui ont peur de venir ? Je leur dirais qu'on passe par des moments un petit peu difficile mais que le résultat est tellement merveilleux que les petits moments qui sont difficiles s'oublient mais sont nécessaires à l'évolution. Je leur dirais de voir plus loin. Dépasser les peurs pour voir ce qu'il y a au bout et au bout, c'est vivre pleinement sa vie. Cela fait plusieurs années que tu exerces cette profession, est-ce que tu as vu une évolution dans les personnes que tu soignais ? Oui tout à fait. Je me rappelle des premières personnes aux toutes premières séances et maintenant ce ne sont plus du tout les mêmes. Ce sont des personnes qui ont repris confiance en elles, qui s'estiment beaucoup plus, qui ont des objectifs dans leur vie, qui reprennent confiance en la vie. On voit maintenant que l'évolution se fait en douceur. Je tiens à préciser que c'est un travail qui se fait en douceur, c'est important. Je crois qu'il faut rassurer les gens qui ont envie de faire cette démarche mais qui ne la font pas. C'est vrai que ces personnes ont peur de souffrir mais c'est un travail qui se fait en douceur au rythme de chacun. Le thérapeute est à l'écoute et accompagne vraiment d'une façon juste. S'il sent que la personne ne peut pas aller plus loin, il ne va pas aller au-delà de ce que la personne peut entendre dans la séance. Il va respecter la personne. Le patient est respecté et si la personne ne se sent pas bien il y a un contact, voire un petit coup de fil entre deux séances pour recadrer. Il faut vraiment que la personne qui a envie de faire ce travail soit rassurée. Ce n'est pas quelque d'infernal qui te tombe sur la tête parce qu'on commence un travail comme ça. Ce n'est pas du tout ça, c'est au rythme de chacun. Quelle est la durée de cette thérapie ? On peut la faire pour régler un problème ou alors on peut la faire à long terme, un travail sur soi. Cela peut être un problème particulier, un problème de couple, un problème au travail. La personne peut régler ce problème là et décider de continuer ou d'arrêter. Précédemment nous avons fait référence à Dieu. Peut-on parler de religion ? C'est une thérapie où bien entendu il n'y a pas de religion. Dieu étant énergie, étant l'Amour mais ce ne sont pas des séances bien entendu où nous allons parler de religion. Je soigne l'être, l'être profond. Cette thérapie sert à faire le ménage. Comme si de part l'enfance, parce que les parents sont protecteurs mais aussi destructeurs, de part l'enfance le corps avait enregistré des tas de choses, comme si tout ça été venu se coller au corps. Le travail est là justement pour se libérer, pour enlever, faire le ménage pour arriver à l'intérieur, une fois que tout est parti, notre être profond, notre être véritable. Etre nous-même c'est être libre et vivre pleinement, réaliser ses objectifs, ses projets, ses buts. Souvent on se dit : " je ne réussis pas dans ce travail " ou " cela fait des années d'obtenir un concours et je n'y arrive pas " et on ne comprend pas pourquoi on n'y arrive. Ce travail sert justement à éclairer la personne. Vivre en conscience c'est être conscient de la façon dont on fonctionne, se poser des questions. Vivre en conscience, c'est être conscient de ce que l'on apporte aux autres, respecter l'autre, c'est rester à sa place, ne pas dépasser ses limites. C'est aussi se respecter soi-même, c'est se connaître. En vivant en conscience, en faisant ce travail sur soi, on arrive justement à bien se connaître, à savoir quel chemin on doit prendre dans la vie. C'est trouver sa voie. C'est la différence avec quelqu'un qui ne vivra pas en conscience, dans son petit traintrain quotidien sans se poser des questions alors que celui qui vivra en conscience va vraiment chercher sa voie et sera déterminé à la faire pour arriver sur le chemin de la lumière. Le thérapeute le guide jusqu'à un certain moment de sa vie dans ses recherches auprès de lui, de continuer sa route lorsqu'il en arrive là, il est capable de vivre, VIVRE PLEINEMENT SA VIE AVEC UNE GRANDE JOIE DE VIVRE. Merci pour cet entretien. Sylvie Jamot excerce sur Valence, si vous souhaitez la contacter : sylviejamot@hotmail.com © GDL - source-lumiere.net - 2002-2007 |
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merci de me répondre
cordialement
Concernant Sylvie Jamot, vous pouvez la contacter grâce à l'adresse inscrite sur le site. Je ne connais pas d'autres personnes dans votre région. Amicalement,
Unita